VENDOMOIS (I (Dictionnaire du) A-E

Par Raoul de Saint-Venant

Référence : 1446
Date édition : 2001
Format : 14 X 20
ISBN : 2-84373-045-7
Nombre de pages : 510
Première édition : 1913-1914
Reliure : br.

Prix: 59.84€

     L'ouvrage considérable, dont nous présentons ici le tome I, comporte cette singularité d'avoir eu (paradoxalement) une histoire, avant d'être conçu et réalisé par Raoul de Saint-Venant (1845-1927) : en effet, c'est le propre père de l'auteur, Adhémar de Saint-Venant, président de la Société archéologique du Vendômois, qui, le premier, en avait eu l'idée, mais il dut abandonner le projet et ce fut M. A. de Rochambeau qui le reprit, onze ans plus tard, contraint bientôt, lui aussi, d'y renoncer, pour des raisons de santé. Le fruit de cette passion partagée et de plus de vingt ans de compilation et de réflexion fut cette oeuvre de référence, en 4 volumes, qui est rééditée ici. Elle offre, par ordre alphabétique, une nomenclature, avec notices explicatives afférentes, des noms de toutes les communes, de tous les hameaux, lieux-dits, châteaux, bois, forêts, familles, paroisses, officiers de justice, échevins, possesseurs de terres, de fiefs, ou de simples métairies, églises et chapelles de Vendôme et du Vendômois.
     Le tome I comprend les communes d'Ambloy aux Essarts, le but de R. de Saint-Venant n'étant pas seulement de composer un recueil, le plus complet possible, des grands moments et des hauts lieux de cette partie du Vendômois, mais d'en restituer le passé dans sa totalité.
     C'est ainsi que le lecteur pourra trouver ici, pour les communes concernées et les lieux environnants, toutes les informations d'ordre historique, géographique, architectural, généalogique, anecdotique, héraldique, qu'il souhaite, avec les références correspondantes, pour une très vaste période qui va des origines jusqu'à la Première Guerre mondiale. Ce Dictionnaire est véritablement l'ouvrage de référence par excellence, même si R. de Saint-Venant écrivait, au moment de sa parution : « Il ne faut pas que les jeunes gens désireux de s'occuper d'histoire locale se découragent de le faire, sous prétexte que tout est dit qui peut être dit sur ce pays. Il s'en faut extrêmement. Toute oeuvre est perfectible. »© Micberth

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